Votre psychologue
Cécile Guilloud
Depuis toujours, j’ai cherché à comprendre le fonctionnement du cerveau, les mécanismes psychologiques et les dynamiques des relations humaines. Aujourd’hui je suis convaincue que cela permet d’aider chacun à mieux s’adapter à sa vie, à comprendre ses émotions et à développer des relations plus saines, tout en favorisant un bien-être durable.
Ce qui m’anime ? Contribuer, à ma manière, à ce que chacun puisse se sentir un peu mieux dans sa vie, en comprenant ce qui le rend unique.
mieux se connaître pour mieux s’adapter
Je crois profondément que le bilan psychométrique n’est pas une simple évaluation, mais un moment clé pour mieux se connaître. L’objectif, au-delà des résultats, est de permettre à chacun de prendre conscience de ses spécificités cognitives, émotionnelles et comportementales. Ce travail de
compréhension peut être libérateur : il permet de mieux saisir ses forces et ses fragilités, de réconcilier son potentiel avec ses vécus, ses envies et ses besoins.
Une spécialisation tournée vers le haut potentiel
Au fil de mon parcours, j’ai choisi de me spécialiser dans l’accompagnement des personnes à haut potentiel intellectuel, qu’il s’agisse d’enfants, d’adolescents ou d’adultes. Ce que je trouve essentiel, c’est de sortir d’une vision figée du HPI, souvent idéalisée ou réductrice.
Je rencontre fréquemment des profils HPI présentant aussi des troubles DYS (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie…). Ce sont souvent des personnes qui ont développé une grande capacité d’adaptation, mais au prix d’un effort cognitif et émotionnel intense. Ce décalage invisible entre leur potentiel et les obstacles du quotidien peut être source de fatigue, de doute, voire d’épuisement.
J’aime accompagner ces parcours complexes et nuancés, où l’on cherche moins à poser une étiquette qu’à mettre en lumière un fonctionnement global, pour redonner du sens et apaiser.
Mon approche
Mon approche consiste à rendre ce bilan aussi fluide et bienveillant que possible. Il n’est pas question de juger ou de mettre des étiquettes, mais bien d’offrir des clés pour s’adapter au monde de manière plus sereine et épanouie.
Que ce soit pour un enfant, un adolescent ou un adulte, l’idée est de poser les bases d’une réflexion constructive : comment vivre en accord avec soi-même,
comment adapter sa vie à ce que l’on est réellement ?
Cela ouvre ensuite la voie à des ajustements personnels : réorganiser son espace de travail, choisir
des stratégies d’apprentissage adaptées, ou encore mieux comprendre ses besoins émotionnels et
relationnels.
Le bilan devient alors un point de départ vers une vie plus fluide, plus authentique.
Une approche ancrée dans l’expérience et la diversité humaine
Tout au long de mon parcours, aussi bien professionnel que personnel, j’ai croisé la route de personnes à haut potentiel, avec un TDAH ou un TSA. Ces profils dits « atypiques » m’ont appris à questionner les normes, à affiner mon regard, et surtout à écouter au-delà des apparences.
Ces singularités ne sont pas des cases à cocher, mais des manières uniques d’être au monde – riches, complexes, parfois épuisantes, souvent lumineuses.
Un outil qui parle autrement
Une BD que je trouve particulièrement juste sur ce sujet est Comme un oiseau dans un bocal. Elle donne à voir, avec sensibilité et intelligence, ce que peut ressentir un haut potentiel intellectuel dans un environnement qui ne le comprend pas toujours.
Ce genre d’outil me permet parfois d’illustrer ce que vivent mes patients, et de leur dire, en quelque sorte : « Tu n’es pas seul. Il y a des clés pour mieux te comprendre. »
Mes outils, ma posture
Je m’appuie sur une approche individualisée, centrée sur l’accueil de chaque personne dans ce qu’elle a d’unique. Mon travail s’articule autour :
– de bilans psychométriques pour évaluer et mieux comprendre,
– de temps d’échange et de co-construction du sens,
– d’un accompagnement où l’écoute, l’humour et la bienveillance sont essentiels.
Ce qui m’inspire aussi
Parce que nous sommes bien plus que notre fonctionnement cognitif ou notre parcours scolaire, j’aime aussi partager – quand cela fait sens – mes propres sources de joie : les jeux de société, le chant, les Lego, les petites choses du quotidien qui permettent de recréer du lien, de l’émerveillement, du mouvement.
