Le bilan psychométrique : mieux se connaître pour mieux s’adapter

mieux se connaître pour mieux s’adapter

Je crois profondément que le bilan psychométrique n’est pas une simple évaluation, mais un moment clé pour mieux se connaître.

L’objectif, au-delà des résultats chiffrés, est de permettre à chacun — enfant, adolescent ou adulte — de prendre conscience de ses spécificités cognitives, émotionnelles et comportementales. Ce travail de compréhension peut être libérateur : il permet de mieux saisir ses forces et ses fragilités, de réconcilier son potentiel avec ses vécus, ses envies et ses besoins.

Mon approche est centrée sur la bienveillance, l’écoute et l’ajustement personnalisé.
Il ne s’agit pas de juger ni de coller des étiquettes, mais d’offrir des clés concrètes pour s’adapter à son environnement et vivre en accord avec soi-même.

Vous souhaitez en parler directement avec Cécile Guilloud, contactez le 0788973713

Une approche humaniste, adaptée à chacun

Que ce soit pour :
  • Réorganiser un espace de travail
  • Adapter des stratégies d’apprentissage
  • Mieux comprendre ses émotions, ses besoins relationnels, sensoriels ou de solitude
  • Gagner en estime de soi en prenant conscience de son fonctionnement et de ses forces
  • Se réapproprier son parcours de vie en identifiant les mécanismes d’adaptation utilisés jusqu’ici
  • Retrouver un équilibre entre ses aspirations profondes et les exigences du quotidien
  • Mettre du sens sur des difficultés anciennes ou récurrentes (fatigabilité, décalage social, anxiété, hypersensibilité…)
  • Identifier des stratégies d’apprentissage plus efficaces, respectueuses de ses particularités cognitives et attentionnelles
  • Réorganiser un espace de travail afin de limiter la fatigue et mieux respecter son rythme

Le bilan devient un point de départ vers une vie plus fluide, plus authentique, plus respectueuse de son propre fonctionnement.

Se spécialiser dans la complexité des profils à haut potentiel

Au fil de mon parcours, je me suis spécialisée dans l’accompagnement des personnes à haut potentiel intellectuel (HPI ) — qu’il s’agisse d’enfants, d’adolescents ou d’adultes.
Ce que je trouve essentiel, c’est de sortir d’une vision figée du haut potentiel, souvent idéalisée ou réductrice.
Je rencontre fréquemment des profils HPI/ THPI présentant également :

  • des troubles des apprentissages (dyslexie, dysphasie, dyspraxie, dyscalculie…)
  • des troubles des apprentissages
  • des troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH)
  • ou encore des troubles du spectre de l’autisme (TSA)

Ces personnes développent souvent une grande capacité d’adaptation, mais parfois au prix d’un effort cognitif et émotionnel intense, invisible aux yeux des autres. Ce décalage peut devenir source de fatigue, de doutes, voire d’épuisement.

Flat lay of question mark paper crafts on a notebook, symbolizing questions and ideas.

Mettre des mots, apaiser, redonner du sens

J’aime accompagner ces parcours complexes, nuancés, où l’on cherche moins à “catégoriser” qu’à comprendre en profondeur un fonctionnement global.
Une bande dessinée que je recommande souvent est Comme un oiseau dans un bocal.
Elle donne à voir, avec beaucoup de justesse, ce que peut ressentir un haut potentiel intellectuel dans un environnement qui ne le comprend pas toujours.
Ce genre d’outil me permet de dire :
« Tu n’es pas seul. Il existe des clés pour mieux te comprendre. »

Une approche individualisée, ancrée dans l’expérience

Tout au long de mon parcours — professionnel comme personnel — j’ai croisé des personnes HPI, TDAH, TSA.
Ces rencontres m’ont appris à questionner les normes, à affiner mon regard, à écouter autrement.
Je m’appuie sur une approche :
individualisée,
fondée sur l’alliance thérapeutique,
centrée sur l’accueil de chaque singularité.

Les bilans que je propose s’accompagnent de temps d’échange, de compréhension partagée, de réassurance parfois, et toujours d’une écoute active, nourrie d’humour et d’humanité. Je crois profondément, comme le disait Einstein, que :
« Tout le monde est un génie. Mais si on juge un poisson à sa capacité à grimper à un arbre,
il passera sa vie à croire qu’il est stupide. »



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